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chapitre 1: la chemise chats. (émile & selin)
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Selin Deniz
Selin Deniz

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Sam 16 Juil - 21:55

Selin aurait tendance à comprendre (et apprécier !) la nature curieuse chez autrui ; aujourd’hui elle n’est pas sûre de savoir, encore, si c’est une bonne ou une mauvaise chose. La discussion sur la chemise est toujours en cours, l’affaire de la robe bientôt réglée, et pour le reste… La présence de l’homme n’est pas tant désagréable, soit.

Les deux robes sont brandies avec plus ou moins d’entrain, il n’y a que deux options parce qu’elle n’a que deux mains. La brune attend le verdict, un peu anxieuse, se demande pourquoi est-ce que le jugement d’un inconnu est soudainement si important pour elle. Elle plisse les yeux, pour l’observer observer, en profite de l’attention prise pour faire attention elle ; aux mèches définitivement follasses qui lui donnent plus l’air sympathique que rebelle, à la mine sérieuse alors qu’il semble préparer quelques arguments, à la chaîne portée autour du cou. Elle relève le menton, de justesse, quasi certaine qu’il ne l’a pas vu le regarder, (sûre qu’il l’a au moins senti), et que la seconde robe gagne les faveurs. Est-elle déçue ? « Maaais elle est si jolie ! » Qu’elle proteste, agitant un peu la robe bleue. Elle en aurait fait autant avec l’autre, si elle n’avait pas été choisie — se montrer raisonnable semble être bien difficile et elle pousse un soupir, observant les vêtements tour à tour.

Selin entend le ton qui change d’une phrase à l’autre, elle n’écoutait que d’une oreille distraite et c’est un peu inquiète qu’elle regarde de côté son interlocuteur ; rembobine, en même temps, se surprend de la mine soudainement gênée, se rappelle qu’il a dit qu’elle allait être jolie, (non, très jolie) et elle laisse un sourire s’étendre sur ses lèvres. « Vous avez raison… » Pour la robe, pas pour le compliment, (même si elle espère). Mais ? Il y a encore un mais, qu’elle n’a pas le temps d’énoncer qu’il lui propose… Une troisième option. « Je ! … » Et à première vue c’est une très jolie robe, et elle aime bien le jaune, et les motifs sont mignons, et elle prend aussi quelques couleurs devant le décolleté qu’elle essaie de projeter sur elle-même. Lui cherche-t-il réellement une robe ou est-ce un subtil stratagème pour la dénuder ?! Les joues gonflent exagérément, « Vous ne m’aidez pas du tout ! », et elle rassemble ses deux robes pour attraper la troisième et porte le tout sur son bras. « Allons essayer. » Avant de changer d’avis et de trouver douze options supplémentaires ; le ton est autoritaire, elle attend une seconde avant de se permettre de récupérer la chemise (de son cœur, de ses rêves, de sa vie). (Elle arrive à attraper le ceintre et l'effleure à peine, chapeau l'artiste.)

Il n’y a personne du côté des cabines, et ça l’arrange plutôt qu’elle n’est pas d’une nature à réellement se montrer. Selin accroche son sac à l’une des patères, les robes à une deuxième, se retourne pour regarder… « Comment vous vous appelez, au fait ? » (Ils auraient dû commencer par ça ?) Elle attend, elle répète, « Émile… » comme pour tester, vérifier si ça lui plait, (ça lui plaît), « Selin— », elle pense à se présenter. « Vous ne bougez pas, Émile, je vais essayer la chemise en premier. » Qu’il se rende compte qu’elle lui va bien, et décide de la lui laisser, (et c’était idiot de lui demander comment il s’appelle s’ils se séparent dans trois minutes).

La chemise lui est un peu trop grande, ça se voit surtout aux manches des épaules qui mériteraient un ourlet. Elle rentre l’un des pans de devant dans son jean taille haute, replie le vêtement pour qu’il baille moins derrière… Repousse le rideau avec une petite moue.
Émile Kim
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Lun 18 Juil - 22:32

À la défense d’Émile, il n’a pas du tout vu le quelque peu généreux décolleté qu’il propose de porter à la jeune femme, considérant que la robe était coincée entre tous les autres vêtements. De la façon qu’il est placé, il ne le voit toujours pas, mais voit bien qu’il n’est plus le seul à avoir les joues rouges et ça le contente un tantinet. « Vous ne m’aidez pas du tout ! Oups ? », souffle le policier avec une absence complète d’innocence et plutôt un petit gloussement amusé, alors que la brune gonfle comiquement les joues.

C’est aussi bien que ce soit le temps de l’essayage. Histoire qu’ils évitent de vraiment se retrouver à ne rien choisir du tout.

« Comment vous vous appelez, au fait ? Émile, répond-il bien simplement, avant qu’il retourne la question d’un : Et vous ? » à la politesse cent fois trop tardive. Il n’a même pas eu besoin de poser la question le premier ! Selin. C’est joli — bien sûr ! que c’est joli ! Il le répète en silence de son côté, puis à voix basse.
Le prénom résonne agréablement, entouré des pressentiments de son don, et l’Élémentaire en a un soupir satisfait dès que le rideau se referme sur sa rivale vestimentaire.

Les baskets pour enfant sont déposées à côté de la cabine d’essayage et dès ses mains libérées, Émile essaie en vain de replacer ses cheveux. En vain, on a dit. Il a déjà abandonné l’affaire lorsque le rideau de la cabine est repoussé et découvre une Selin à la moue dubitative. C’est en effet un peu grand pour elle, mais c’est là tout l’effet recherché, n’est-ce pas ? « Je peux.. ? », demande-t-il en levant un peu les mains, attendant son assentiment avant de toucher la chemise au niveau de ses épaules pour replacer la couture bien comme il faut, puis redresser le col ― gestes familiers, imités à même ceux d’Anatole. Attention portée à ne pas la toucher elle directement, comme s’il risquait de s’y brûler. La chaleur de son visage n’est pas aidée par la proximité soudaine avec Selin. « Vous croyez que je peux faire mieux, Selin ? » Un brin de malice dans l’oeil noir, dans la moue qui étire le coin de ses lèvres. Le prénom est testé véritablement à son tour — oui, il lui plaît beaucoup. Il appuie ses doigts contre son épaule pour inviter sa comparse à se retourner et se regarder dans le miroir à l’intérieur de la cabine, visible par-delà le rideau repoussé. « Je savais que ç’allait bien vous faire. C’est injuste, je suis sûr que tout vous va. » Et le voilà qui soupire, dramatique, même si absolument confiant que cette chemise lui ira à lui aussi comme un gant et que leur petit problème ne sera pas du tout aidé.
Selin Deniz
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Ven 22 Juil - 23:36

L’oeil se plisse lorsqu’il lui demande l’autorisation — de quoi, au juste ? Selin n’est pas, vraiment pas, du tout, d’une nature méfiante. Au contraire, d’un naturel plutôt avenant, ouvert, elle aime le contact des autres, même si elle les connaît peu. Des années passées auprès de nouvelles têtes, souvent éphémères, toujours intéressantes. Mais ce Émile… Ce doit être seulement parce qu’il veut lui voler sa chemise, parce qu’il sourit trop facilement, que sa mèche folle lui va bien (quelle idée de vouloir se coiffer ?! et ruiner le flow naturel d’un ensemble si plaisant à observer ?!) et qu’il trouve toujours réponse à rétorquer et la suive ?! Selin trouve cohérent d’attendre que l’autre chaussure atterrisse, et qu’elle découvre enfin l’entourloupe. Elle finit par cligner des yeux de façon un peu pressée, en acquiesçant au passage, accord donné d’un « Mmh ! » à peine marqué. Elle sait ce qu’il lui demande, au vue des mains levées et de la mine inquisitrice (elle passe au détecteur de la fashion police) et l’instant d’hésitation dure tout au plus deux secondes.

Émile se charge donc de reposer le vêtement mieux qu’elle ne l’a fait, elle tend légèrement le menton pour éviter les doigts qui s’égarent près du col, elle retient sa respiration et elle sent la rougeur grimper de ses joues jusqu’à ses oreilles de manière fugace. Le plafond est, fiou !, terriblement charmant mais pourquoi fallait-il le peintre d’un vert si foncé ; la réflexion est mieux que de laisser l’idée qu’elle laisse un garçon qu’elle ne connaît pas la presque toucher aussi facilement et que l’émoi est pire que si elle avait seize ans. Selin est cependant bien obligée de baisser le regard sur son interlocuteur si taquin, et elle fronce exagérément les sourcils dans une mine (de rage !! intense !) avant de laisser éclater le sourire qu’il lui semble bien difficile de retenir face à lui. Elle ne trouve pas à rétorquer assez rapidement et se laisse faire, un demi-tour pour qu’elle puisse se regarder à nouveau. Elle aime quand c’est trop grand, vraiment, et puis ces petits chats !! Princesse ! ; y’a un mais qui lui fait se tordre l’estomac, ce doit sans doute être la possibilité que la chemise ne lui revienne pas et qu’elle s’y attache trop.

(Car, oui, il peut faire mieux le vilain.)

Le soupir de son rival termine contre sa nuque, elle a presque le réflexe d’aller donner un coup de coude derrière elle pour chasser l’idiotie dite mais elle se retient de justesse — ne sont-ils pas amis, Ali a l’habitude de l’esquiver mais… « Si vous essayez de me flatter pour avoir ma sympathie… » Bon, ça marche un peu, mais ce n’est pas un beau jeu ?! Un peu de fair play, voyons ! Elle s’attarde à regarder le miroir quelques secondes : sa tenue, si quelques mèches dépassent, de profil, ce qui lui permet aussi de voir Emile dans le reflet, quart de tour et mouvement de cheveux avant qu’elle ne se retourne complètement vers lui. « Vous auriez dû chercher une autre chemise, tout de même, elle ne vous ira pas. » Elle affirme, pleine de mauvaise foi, mentant éhonteusement en souriant de toute ses dents (et qu’ça remonte jusqu’à quelques rides autour des yeux) avant de retourner en cabine.

Selin se presse un peu le rideau tiré, ne prend pas le temps de se rhabiller proprement et fait passer le vêtement dans une maigre ouverture, attendant qu’il l’attrape en faisant attention à ce qu’il ne la voit pas pour se retourner vers ses autres affaires. La brune ne réfléchit pas tant à quelle robe essayer d’abord, entend quelques autres rideaux tirés à côté, termine de se déshabiller pour enfiler la première — c’est la jaune rajoutée sur le tas, qui lui va bien sur la forme, d’un décolleté pas si pire quoi qu’un peu risqué tout de même. Il tire son rideau en premier et elle suit, oublie un peu son propre changement d’accoutrement qu’elle est curieuse de voir ;

Les chats.

Les lèvres s’étirent vers le bas dans une moue dépitée, maintenant, elle lève les mains en l’air avant d’aller les poser sur ses hanches l’air désemparé.

« Elle ne vous va pas. »

(Elle ment.)
Émile Kim
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Jeu 28 Juil - 21:30

« Si vous essayez de me flatter pour avoir ma sympathie… Voyons, ce n'est pas mon genre. » Oui, c'est son genre, surtout si ça fonctionne. Et Émile ne sait pas si ça fonctionne, mais il y a bien quelque chose qui va bien, vu le sourire qui refuse de s’effacer de sa trogne trop longtemps, et de même pour Selin. Il suffit d’un quart de tour pour qu’une autre vague de parfum léger lui parvienne et continue de gruger ses quelques neurones actifs. « Vous auriez dû chercher une autre chemise, tout de même, elle ne vous ira pas. Tt tt, qu’il claque un peu de la langue, ça reste à voir. » Dit-il alors qu’aucun signal d’alarme ne s’allume dans son esprit, que rien de négatif ne se glisse sous sa peau, que l’avenir porte le même contentement que le présent.

Dans la cabine d’essayage qu’il s’attribue, une fois la chemise chats récupérée, le policier ne prend même pas la peine de déboutonner la sienne, de chemise, pour la retirer. Passée par-dessus sa tête en un geste leste d’habitué, aussi vite que possible alors qu’il se sent stupidement fébrile d’essayer le vêtement convoité. De l’essayer et d’aller voir si ça lui va, comme il le pressent, ou si pour une fois son troisième oeil est complètement aveugle et surtout, aveuglé par le crush vitesse grand V développé en quatre secondes et demi.

Le miroir lui renvoie une image bien satisfaisante et il en est à vérifier que la chemise est juste assez bouffante hors de son pantalon, que les manches tombent bien sur ses bras (très bien, même) lorsque sa camarade tire son propre rideau de cabine. « Elle ne vous va pas. » Que peut-il faire, outre éclater de rire ? Rien, et c’est donc ce qu’il fait ― l’éclat est significativement plus fort que sa voix égale, résonne un peu contre les cloisons des cabines, fait se retourner un ou deux badauds occupés dans leurs propres rayonnages. Il regarde Selin par-dessus ses lunettes, petit coup d'œil qui semble demander “tu es sérieuse ?” sans qu’il prononce le moindre mot de la question. « Ce n’est pas bien de mentir, Selin », qu’il gourmande avec une absence complète et totale de sévérité.

Le rire se calme, devient un sourire, puis une expression admirative lorsqu’il prend le temps de détailler ce qu’elle-même porte ― c’est-à-dire, la robe qu’il a choisi pour elle. « Oh, c’est très beau », qu’il glisse, l'œil attiré par les manches légères (mignonnes), les volants au bas de la robe (pas trop courte), puis euh, ce qui est impossible à manquer. Le décolleté. Qu’il remarque et qui le fait remonter précipitamment ses prunelles jusqu’au charmant minois de Selin, les oreilles soudain chaudes. « La coupe est, euh, flatteuse, il a bafouillé un peu, là, si ? flatteuse ? indeed, et le jaune est, va très bien avec sa peau, la peau qu’il peut très bien voir au niveau de sa poitrine, est une de vos couleurs. » Définitivement un peu de bafouillage au menu, le ricanement, le gloussement, même, pas très loin dans sa gorge, s’il se laisse aller. « C’est une de mes couleurs préférées, je suis peut-être un peu biaisé. » Et Selin est sublime : il est extrêmement biaisé par ça.
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Lun 1 Aoû - 21:50

Et c’est quoi, son genre, à Émile, au juste ? Est-ce déjà trop tard pour le lui demander, ou est-ce une information que Selin peut récolter à retardement comme son identité ? La brune se questionne et penche légèrement la tête en même temps, un mince sourire sur les lèvres. Les secondes passent où elle le jauge du regard à travers le miroir et il est ensuite définitivement trop tard pour le lui demander ; alors elle continue sa course, retourne se changer, laisse son rival essayer le vêtement qui lui va évidemment très bien.

Elle n’achètera peut-être qu’une robe, finalement.

(Elle n’en est pas plus heureuse pour autant.)

Elle se sent rougir (à vitesse grand V en deux secondes et trois quarts) alors qu’il se met à rire de sa mauvaise foi, elle préfère gonfler ses joues en un semblant de regard sévère pour qu’il se reprenne et qu’elle ne se mette pas à sourire (ou, pire, émettre un son franchement lamentable) ; elle se met à rire à son tour, plus discrètement tout de même, lorsqu’il ose l’affronter sur son mensonge. « Maiiis… » Qu’elle tente, même, d’une petite voix, pas loin de la tristesse feinte, pour l’amadouer. Ne comprend-t-il donc pas la situation ? La chemise leur va à tous les deux ! Ne voit-il donc pas dans quel embarras ils sont ? Que faire ?! Ils ne vont tout de même pas la déchirer et repartir chacun avec un bout ! Et hors de question de la laisser-là pour un·e autre inconnu… !

Vient le moment d’apprécier (?!) son changement de tenue, et la vitesse grand V de rougeur double et devient un double V (W) ; elle ose à peine regarder son accoutrement, bat des cils devant le bout de reflet qu’elle capte dans un miroir, (ou devant la mine (pas si) maligne d’Émile). Selin aurait envie de tousser, préfère faire un semblant de conversation toute autant bafouillée que celle qu’on lui offre. « Elle est ? » Elle voudrait remonter le décolleté, a appris avec les années à seulement assumer les vêtements tout à fait décents qu’elle se permet de porter parfois. « Il est ? » Le jaune, quoi le jaune ? Elle a si chaud qu’elle sent quelques perles de sueurs menacer ; elle attrape ses cheveux et aère un peu, hésite, les passe tous de son côté gauche alors que le verdict en face tombe. Le jaune n’est pas trop défraichit, encore frais, et est apparemment l’une de ses couleurs. « Ah bon, d’accord. » Que quelqu’un lui explique pourquoi son cœur bat si vite et qu’elle est à bout de souffle.

Les lèvres s’étirent en un sourire content, bienheureux, alors qu’il avoue être vendu et lui donne sans vraiment réfléchir un petit détail sur lui ; elle aime les petits détails. « Si c’est que ça… » Qu’elle fait, avant de finalement se retourner pour vraiment se voir ; est-ce la robe qui est agréable à regarder, est-ce elle, est-ce l’ensemble ? Est-ce que ça vaut le coup qu’elle essaie les autres… ? « Vous voulez voir les autres… ? » Elle commence, l’idée qu’un avis supplémentaire est plutôt chouette alors qu’elle ferait mieux d’en profiter, (et y'a qu'elle trouve chouette d'être appréciée parce quelqu'un aux goûts appréciables) — mais naturellement son regard cherche celui d’Émile, et elle voit le contraste entre la dominance rouge et la dominance jaune alors qu’ils sont côtes à côtes. Elle est certaine de pouvoir ressentir sa chaleur contre elle, ça n’aide pas, ils sont bizarrement assortis, mais…………… MAIS NON ! Un sursaut, elle se retourne, « Non, attendez, non ; on fait quoi pour la chemise ? », ils sont foutus, il va vraiment falloir en venir aux mains.
Émile Kim
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Dim 14 Aoû - 5:07

Émile a chaud. Un coup de chaud qui le fait légèrement ventiler le devant de la chemise afin de générer une illusion de vent sur son visage, ceci alors qu’il refuse de s’éloigner de l’objet de cette fameuse gêne. Selin, s’il faut vraiment le préciser, et ses propres tics qui trahissent une gêne qui n’appartient pas uniquement au policier sous le charme. Ses bafouillements sont entrecoupés de ceux de la jeune femme et il leur faut tout pour se comprendre et que l’avis ― positif ! ― soit transmis et compris. Il espère. « Si c’est que ça… » Il pouffe à rien du tout et ne se lasse pas de regarder le reflet de Selin, comme si d’ainsi la voir était moins dangereux, moins brûlant, que de poser réellement ses yeux sur elle tout juste à ses côtés. Puis, dans le miroir, le jaune et le rouge se complètent bien, se complimentent, couleurs ensoleillées qui flattent les teintes saines qui se sont invitées sur leur trogne respective.
Ça lui va de rougir seulement si l’autre personne rougit aussi, na !

« Vous voulez voir les autres… ? Au moins celle avec le motif qui vous plaisait bien, la bleue et orangée, là, mais vraiment… celle-ci est super, vous êtes très jolie. » Serait-ce parce que ce serait tout bonnement injuste que ce soit son choix, après qu’il ait cherché à peine quelques secondes à travers la mer de robes de seconde main. Après, c’est tout ce en quoi correspond son potentia, donc bon : injuste, mais ainsi va la Nature.

Il en est à rajuster une autre fois le col de la chemise-chats lorsque sa camarade s’alarme : « Non, attendez, non ; on fait quoi pour la chemise ? » Elle n’a pas avoué que le vêtement lui allait bien, mais ce cri du cœur a tout d’un aveu. Leur problème est loin d’être réglé et franchement… franchement, il le savait d’avance, mais il ne regrette absolument rien.

Émile a peut-être une idée et quiconque le connaît un peu sait que c’est tout à fait le genre de shenanigans digne de lui, mais Selin, elle ne le connaît pas, et vice-versa. Elle n’a aucune raison de lui faire confiance, encore moins alors que le plan qui germe dans son esprit demande justement une bonne dose de confiance. D’accepter d’avancer dans l’inconnu. Il faut encore quelques secondes de sérieuse réflexion à l’Élémentaire avant qu’il reprenne la parole : « J’ai une idée, commence-t-il tout ce qu’il faut de conspiration complice dans la voix et jusque dans ses yeux noirs. Essayez la seconde robe et je vous dis tout. Ça lui laissera le temps aussi de peaufiner cette fameuse idée encore embryonnaire et surtout, de peaufiner d’éventuels arguments pour que Selin accepte de le suivre si elle refuse sa bêtise. Quoique… Je ne me sauve pas. » Ses mains esquissent non pas un vague signe d’honneur scout, mais un je le promets signé qui ajoute un peu de poids à sa prétention, alors qu’il se recule pour s’installer près de sa cabine, sans quitter le vêtement aux motifs félins.
Selin Deniz
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Lun 15 Aoû - 12:19

Selin se laisse emporter par les compliments et oublie, trois secondes, qu’il persiste un problème entre eux — c’est vrai que cette robe lui va bien, est plaisante à regarder, elle chasse le vertige qui la prend lorsqu’on lui dit qu’elle est très jolie en battant des cils envers le miroir. Les essais pourraient s’arrêter là, mais elle est du genre à tout essayer pour être sûre de chacun de ses achats (même lorsqu’elle essaie d’être sage) et avoir une opinion nouvelle est rafraîchissant ; surtout qu’il a dit qu’elle était très jolie.

Puis la réalité revient et la frappe, un peu durement ;

La chemise est sur son rival, lui va bien, l’idée de l’essayer chacun son tour n’a absolument pas aidé. N’a permis que quelques joues rouges et coups de chaud, mais…

Elle le fixe avec une certaine intensité, mer relativement calme mais pourtant pleine d’attente alors qu’Émile cherche une réponse. Selin en espère une adéquate, ose croire qu’il va se montrer galant à défaut de raisonné et lui laisser le vêtement comme il se doit — elle persistera, à dire qu’elle l’a vu en première, qu’elle la mérite plus parce que Princesse, trouvera bien un quelque chose pour inclure Démon dans son argument, oserait-elle impliquer quelques larmes de crocodiles à l’échange… ?

La brune relâche un souffle qu’elle retenait sans s’en rendre compte alors qu’on lui dit avoir une idée, mais vu l’air malin arboré elle n’est pas certaine que ce soit une bonne chose. « Quoi ? Mais non, dites moi ! » Elle proteste, un tantinet outrée qu’on cherche encore à la faire patienter — s’il n’a pas d’idée et qu’il cherche à gagner du temps, qu’il le dise aussi. Ils trouveront bien une solution, ce sont des gens… Cen…Sés… Urm. La moue est boudeuse, même si elle a envie de continuer ses essayages, et qu’il reste, même s’il promet de ne pas se sauver. « Bon, alors, euh… » Elle n’a plus la main sur la situation, ça ne va pas du tout. « Je prends vos chaussures, là. Je n’ai pas d’autre monnaie d’échange, et vous avez la chemise. » Elle tend les mains, attend de recevoir les baskets fut-un-temps blanches pour retourner en cabine.

Elle espère qu’il n’avait pas d’autres prospects pour les chaussures, et qu’il ne va pas profiter de son absence temporaire pour effectivement partir avec la chemise. Ce serait fourbe et elle aurait le cœur brisé, personne ne veut ça pas vrai ?

Juste au cas, l’échange de robe est rapide ; elle a encore les sourcils froncés lorsqu’elle ressort avec la seconde robe à motif, comme si elle n’arrive pas à être vraiment satisfaite du premier coup de quoi que ce soit. « Voilà… » Elle écarte un peu les bras, offre un tour sur elle-même pour qu’il observe tout avant de s’arrêter de nouveau face à lui. « L’autre était mieux, vous aviez raison. Quelle est l’idée ? Êtes-vous enfin prêt à me céder la chemise, puisqu’elle ne vous va pas du tout ? »

C’est bien parce qu’elle ne le connaît pas qu’elle en appelle à son bon sens.
Émile Kim
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Lun 22 Aoû - 19:40

Le policier est pour une fois intraitable et ne se laisse pas attendrir par les jolis yeux et la toute aussi jolie moue boudeuse de Selin. Oui, il a besoin d’au moins une minute de plus pour peaufiner son ersatz d’idée, mais ça, elle n’a pas à le savoir. Déjà que l’idée est euh, audacieuse, pour le dire simplement… faudra aussi peut-être qu’il pense à des arguments, au cas où sa rivale refuse la proposition. L’accord est donné à contrecoeur, devant l’immobilité du flic ― il en a croisé les bras, pour marquer sa fermeté. « Je prends vos chaussures, là. Je n’ai pas d’autre monnaie d’échange, et vous avez la chemise. Ça me va ! Fair game, comme qui dirait : c’est sa seule assurance qu’il ne profitera pas de l’instant pour s’enfuir fourbement avec son bien. C’est pour ma nièce, faudra me les rendre », qu’il ajoute en lui confiant la paire de baskets taille enfants, quasi solennel dans le geste.

La brunette disparaît le temps de quelques minutes, trois au top, vêtue du second choix. Il a un petit signe de négatif, le jugement express en un coup d’oeil (qui apprécie quand même ce qu’il voit, puisque la jeune femme reste mignonne). La jaune était mieux : et ça, ils sont bien d’accord. « L’autre était mieux, vous aviez raison. Quelle est l’idée ? Êtes-vous enfin prêt à me céder la chemise, puisqu’elle ne vous va pas du tout ? C’est le jaune », dit-il comme si toute l’affaire tenait à la couleur de la robe choisie et pas aussi au motif, à la coupe, à sa longueur, au tombé des manches et à la ligne du décolleté… ou à un potentia fort pratique pour ce genre de chose. Ça inclut la dispute autour du vêtement à l’imprimé félin. Plus facile de dire qu’il a simplement l’oeil, alors qu’il a littéralement le troisième oeil.

Émile inspire et, les mains jointes devant lui, commence son crucial exposé, qui déterminera leur avenir vestimentaire : « On partage la chemise. Bon, ça mérite quand même un peu plus de chair autour de l’os, là. Pas dans le sens qu’on la déchire, hein, quand même, il n’est pas ! complètement dingue !! une telle beauté, merveille, rareté !!! Il ne faudrait pas que Selin se mette ensuite en tête de la lui voler sous prétexte qu’il lui manque quelques cases et qu’il a pour plan de détruire la chemise. On l’achète tous les deux, moitié-moitié, et on la partage. Vous l’avez pour un temps, vous la portez, puis c’est à mon tour, et on alterne. » Jusqu’à la fin des temps, ou mort naturelle d’un vêtement bien aimé et donc bien porté.

Émile trouve que c’est une idée géniale, franchement, qui peut satisfaire tous les partis impliqués dans cette affaire.
Peut-être que Selin va quand même trouver qu’il lui manque quelques cases.
Selin Deniz
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Mar 23 Aoû - 22:24

Il a une nièce — n’a-t-il donc pas d’enfant et d’époux.se ou est-ce une manière polie de dire qu’il a une copine avec un enfant ou ; bon sang, pourquoi s’interroge-t-elle autant et de quel droit ça l’intéresse, au juste ? Selin se concentre, juste un peu, le temps de se changer. Elle essaie de ne pas trop s’interroger sur Émile, ou la situation, ou le fait que ça prend une ampleur saugrenue, et il lui faut un petit effort supplémentaire pour ignorer que la première robe lui allait mieux que celle-ci.

La brune essaie de provoquer le destin, ou de planter une petite graine de bon sens à son… rival-ennemi-somehow_acolyte ?! Mais c’est peine perdue, le destin n’est provoqué de rien du tout, il lui rit très certainement au nez au contraire. Elle lui propose d’enfin céder la chemise (puisque c’est la chemise de son cœur de ses rêves de sa vie, puisque Princesse, puisque … elle a oublié les arguments en cours de route) et il radote sur sa couleur préférée (il est peut-être un peu biaisé). Elle souffle, entre qu’elle ne sait pas prendre un compliment (même déguisé) et le dédain du ridicule de leur discussion. C’est que ça ne répond ni à sa question, ni à leur problème, et ;

Et elle cligne des paupières, plusieurs fois, dans un silence bref mais pourtant consternant, à ce qu’il propose.

Elle fronce les sourcils lorsqu’il commence à se rattraper, (non bien sûr que non on ne déchire pas une telle merveille) (c’est seulement la chemise, qu’il porte toujours, qu’elle regarde avec insistance) mais ils… L’achètent… Ensemble ?

Est-elle supposée réagir ?

Et, si oui, comment ?

« Mais… Quoi ?! » Cela fait sens, et en même temps… Non. Non, ça ne fait pas sens. On partage son feutre préféré avec son copain en maternelle, on partage un pull avec sa meilleure amie au lycée ; après, le monde est cruel et on n’partage rien. Les vêtements d’Ali qu’elle possède sont des choses désormais volées, qui sont les siennes. Tout comme les chaussures que lui piquent Caria dès qu’elle passe par Strasbourg. Elles ont son nom mais se sont désormais les chaussures de sa sœur. La chemise chats… Dans quel monde, au juste, deux adultes qui ne se connaissent pas vont acheter ensemble un vêtement pour le partager — à peu près équitablement, elle suppose ?

Son cœur s’emballe un peu.

En même temps… C’est une solution, et la seule à peu près plausible qu’ils ont.

Et la chemise (seulement ! la chemise !) est vraiment belle.

Ses joues rosissent.

Parce que ça implique, aussi, de… au moins… Croiser ? Émile ?

Et ;

« C’est d’accord. » Mais ? Mais mais mais mais ?

« Mais il va falloir quelques règles de bon vivre. C’est un engagement long terme, que vous proposez, il va falloir en prendre soin et la chérir cette chemise ; si vous n’adoptez pas de chat… Comment puis-je être sûre que vous allez vous occuper correctement de ce vêtement ?! Et — » Elle en fait trop. Principalement parce qu’elle n’est pas venue elle-même à l’idée et qu’il faut qu’elle prétende, pour la forme, contre-argumenter. « Et je ne veux plus jamais vous croiser dans un magasin. Vous êtes un ennui à mes affaires, Émile. » D’abord la chemise, puis la robe… Elle n’ose essayer d’estimer le temps de fréquentation du jeune homme, mais il a déjà mis son grain de sel dans sa vie et ;

Et elle a un sourire un peu trop grand, lorsqu’elle retourne en cabine pour se rhabiller ; sans même prendre la peine d’essayer la troisième robe.
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Dim 11 Sep - 4:13

La perplexité de Selin est palpable et vraiment, Émile ne peut pas lui en vouloir de se retrouver coite devant une suggestion proprement tirée par les cheveux. Il aurait probablement pu faire pire, mais il suppose que pour une première rencontre avec une inconnue, c’est déjà marquer gros sur la liste des trucs improbables. Et pourtant, qu’importe toute l’incongruité de ce qu’il a pu proposer… vous savez quoi ?
Il sait qu’elle va dire oui.
Il le sait, de la façon instinctive qu’Émile sait beaucoup de choses sans pouvoir les expliquer autrement que par le don conféré par l’Ombre ― il le sait par les frissons sur sa nuque, la boule de joie qui déjà éclate dans son torse, par le jaune synonyme de bonne nouvelle pour lui, par la certitude que tout ira bien. Celle-là-même qui l’a fait s’engager dans l’allée des chemises pour hommes en sachant qu’il se passerait quelque chose, sans savoir quoi exactement.
Il sait, mais il ne dit rien. Il n’y a que son sourire qui ne bouge pas, son regard qui attend le verdict final, officiel, alors que l’Élémentaire retient son souffle, comme si la moindre expiration allait changer le cours des choses (il sait mieux que personne que c’est possible).

« C’est d’accord. » !!!!!!!! Émile sautille légèrement sur place, RA-VI d’entendre ces mots si simples mais ô combien doux à son oreille. Qu’un “mais” suive immédiatement l’accord ne le trouble pas du tout : il est prêt, super prêt, ultra prêt à accepter bien des conditions pour mettre en place cette affaire et pouvoir croiser Selin à nouveau. Et porter cette chemise, ah oui, c’est bien de ça qu’ils parlent avant tout. « Et je ne veux plus jamais vous croiser dans un magasin. Vous êtes un ennui à mes affaires, Émile. La prochaine fois, on viendra ensemble, alors », dit-il avec légèreté, avant de lui-même aller se changer. La chemise (à motifs animaliers et floraux, on ne fait jamais trop, ici) est soigneusement rajustée, avec peut-être ? un bouton supplémentaire malencontreusement ? pas boutonné ? quel hasard d’oubli ? et l’objet de convoitise des deux Strasbourgeois est soigneusement drapé sur son bras à nouveau.

Il a mal aux joues, à force de sourire, et Émile s’en rend à peine compte.

Hors de la zone des cabines d’essayage, ils se trouvent un coin pas loin des caisses (ils doivent éviter de regarder d’autres trucs, sinon ils vont vouloir partager tout le magasin). C’est l’heure de soumettre les conditions qui lui sont venues pendant ces quelques autres minutes de battement, dont la plupart ont été consacrées à s’assurer qu’il n’était pas en pleine géniale hallucination. « On la paie 50/50, pour avoir exactement la moitié des droits sur le vêtement, on s’assure qu’elle est lavée avant d’être échangée à l’autre et de faire réparer tout accroc, parce qu’un vêtement bien entretenu est la base de tout, et je veux voir avec quoi vous la portez », parce que c’est absolument nécessaire de savoir comment elle sera stylée ! Il tend la main, cérémonieux, prêt à sceller l’entente verbalement avant qu’ils le fassent avec leurs euros et un échange de numéros de téléphone : « Deal ? »
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