- Couleur dialogue de Calix - Couleur dialogue mental de son potentia, alias Donnie
* Potentia a action continue, merci de penser à préciser quand votre personnage ment
Évidement, Mikhael vint à mentir, c’était léger, mais suffisant pour agacer le vétérinaire. S’il voulait passer une journée sans entendre le murmure d’outre tombe de Donnie. Ainsi, grâce au potentia de l’informaticien, il a pu accéder à la vérité chuchotée dans sa tête, l’homme souhaitait partir mais aussi garder un secret… Voilà bien un truc de menteur, les secrets. Calix pourrait le questionner pour découvrir de quoi il s’agit, mais ce serait du masochisme de sa part, il ne voulait pas se retrouver à nouveau dans un état de fatigue extrême. La dernière réunion de La Promesse se souvient encore de son comportement lorsqu’il est exténué, il allait avoir un paquet d’excuses à faire… Sans doute.
- Bonne… Soirée.
Dit-il poliment, ne cherchant pas à le retenir, bien qu’il ne put s’empêcher de demander à la brune tandis que ses yeux verts observaient l’homme au chat sur l’épaule commencer à s’éloigner d’eux, il dit plus bas à la brune :
- Vous devriez sans doute l’empêcher de partir. Ce n’est pas un chat qui me l’a dit, mais mon petit doigt - encore une expression - il n’avait pas vraiment envie de vous laisser.
Il sourit avec bienveillance, après tout, c’est Noël, n’est-ce pas ? Son regard se dirigea à nouveau vers le photographe du soir avec l’enfant, lorsqu’il remarqua Alice. Il avait sans doute pensé un peu trop fort à la dernière réunion de La Promesse, pourtant il n’avait nullement le don d’invoquer les gens.
- Je crois que je suis un peu parti du mauvais pied avec votre ami, mais je pourrais sans doute essayer d’arranger les choses en offrant le premier godet de vin chaud si vous le ramenez par ici, hm ?
Ouais, c’est Noël… Faudrait pas qu’il soit déjà aigri au point de gâcher la fête en étant désagréable ? Ce n’était pas si évident pour lui, habituellement il fête Noël avec ses parents, mais cette année il n’avait pas l’intention de les rejoindre. Il ne savait pas si c’était son choix ou si c’était sa fatigue mentale qui le poussait à prendre cette décision. Il ne savait plus ce qui était le plus toxique pour lui entre la solitude ou devoir supporter ses parents qui seront, sans l’ombre d’un doute, avides des nouveautés sur Strasbourg.