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J'ai demandé mon avenir à une voyante, elle a eu un fou rire (Net)
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Dim 17 Juil - 20:12

Tu as dû prendre un rendez-vous rapide, donc next votre médecin généraliste habituel – Max a lâché un ouf avant de reprendre son air de malheureuse souffrante. Elle n’aime pas trop le toubib, de base, mais le généraliste qui la suit est un homme occupé qui prend sans rendez-vous, rendant les visites aléatoires et les temps d’attentes généralement très longs. Les docteurs les plus rapidement disponibles et les mieux notés se trouvant à l’autre bout de la ville, tu as laissé la petite fille choisir en fonction de ce qu’elle pensait pouvoir marcher et elle a, évidemment, choisi celui près de l’Orangerie en s’assurant par là-même que tu l’emmènerais prendre une glace une fois le gros bobo et le chagrin réparé.

Elle était revenue le soir précédent du centre aéré avec une cheville rouge et gonflé, quelques hématomes et l’air dramatique. Les moniteurs n’étaient pas spécialement alarmés et Max avait dramatiquement demandé des pâtes et le lit – pour finalement se coucher à pas d’heure sous la couette avec sa tablette. Le lendemain, en pleurs, refusant de marcher jusqu’à la cuisine, tu avais laissé un message à Emile pour lui dire que tu emmenais Max chez le toubib et que tu serais en retard – probablement plus que ça. Tu l’avais laissée mettre son t-shirt rose à sequins dorés, son short jaune et bleu et une basket qui fait de la lumière – l’autre cheville était trop grosse pour passer la chaussure et elle avait bon gré mal gré accepté de mettre une tong.

Elle s’occupe une fois dans la salle, le visage encore un peu rouge d’une crise de larmes pour que tu la portes jusqu’au cabinet – tu avais cédé, comme d’habitude et elle t’avait donné plusieurs tapes pour que tu cesses de partir n’importe où et te guider grâce au GPS qu’elle avait dans les mains. Très occupée à essayer de faire un beau royaume sur un jeu merge dont tu as oublié le nom, c’est elle qui te tape sur le bras lorsqu’on appelle plusieurs fois votre nom et elle pointe sa jambe à l’intention du docteur. « Là j’ai mal ! »
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Dim 17 Juil - 22:54

Le temps que Netanel avale la dernière lampée de son café et parcourt la quelque centaine de mètres qui séparaient son cabinet de son immeuble de résidence, un nouveau créneau matinal s'était ajouté au planning électronique en ligne. Entre ses habituels patients et rendez-vous téléphoniques s'était glissé le nom de Maxime, 8 ans. Le nom de famille n'évoquant rien au médecin, il devait s'agir d'un nouveau patient. Probablement un parent paniqué par une toux subite qui le forçait à prendre un rendez-vous en urgence, de bon matin. Le médecin regrettait de ne pas avoir plus d'informations pour le dossier. Il aimait connaître ses patients. Nouer un lien de confiance afin de les soigner au mieux. Il n'était pas comme ce docteur infâme de série télé, à traiter les humains comme des véhicules porteurs de pathologies. Netanel s'intéressait davantage aux patients, qu'à leur maladie.

Les premières consultations s'enchainèrent. Les plus matinaux étaient des travailleurs guettant leur montre pour être à l'heure à l'embauche. Il y avait également l'irréductible club du troisième âge. En retraite, mais debout depuis 5 heures du matin et pour qui il était important d'avoir rempli toutes les tâches de leur journée avant que le nouvel épisode de leur soap américain préféré ne soit diffusé. Netanel n'était guère bavard pendant ses consultations. Il préférait tendre l'oreille – écouter les gens parler si cela pouvait leur faire du bien – il restait impeccablement concentré sur sa tâche. Notamment si l'utilisation de son don entrait en jeu. Ce n'était pas toujours le cas. Son potentia ne soignait pas tous les maux. Dans le cas d'un virus ou d'une bactérie, c'était la médecine générale qui prenait le relais. Et comme tout médecin qui se respecte, il signait des ordonnances illisibles.

Le tour de Maxime, 8 ans arriva enfin. Netanel fût surpris de voir apparaître une fringante demoiselle à lunettes, lui qui s'était bêtement attendu à un petit garçon. Certainement qu'il était trop vieux jeu – ou trop vieux tout court – pour assumer pareil évidence. Il montra le chemin de son cabinet à l'homme qui accompagnait l'enfant. Cette dernière fût portée comme une princesse jusqu'au lit d'examen, ce qui donna quelques indices à Netanel sur le motif de consultation. Une cheville gonflée, une ecchymose au niveau du ligament annulaire antérieur. Impossibilité à poser le pied à terre. Cela ressemblait fortement à une entorse. « Bonjour. Je vous en prie, installez-vous » convia-t-il, en désignant l'un des fauteuils face au bureau. Puis il se retourna vers la petite fille assise sur le rebord du lit d'examen. « Maxime, c'est bien ça ? Je suis le docteur Joffe, je vais t'examiner. Surtout, n'hésite pas à me dire si je te fais mal, d'accord ? Alors, raconte-moi que t'est-il arrivée, demoiselle ? » demanda-t-il d'une voix calme et posée. Avant de manipuler sa cheville, il voulait avoir plus de précisions sur l'historique des dernières 24 heures.  
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Dim 17 Juil - 23:13

Tu mets quelques instants de plus à réagir et tu embarques une Maxime qui exige que tu la portes encore – avec moins de soins, la distance est plus courte et ça la fait rire d’être prise en sac à patates. Tu la déposes où on te l’indique, le regard un peu perdu, entre les meubles inconnus et l’esprit enfin libre des pensées défaites des autres patients, tu respires un peu plus, un peu mieux. Tu restes debout malgré la chaise qui t’es indiquée et Max, après un bref instant de timidité – elle opine à peine au nom, cherche ton regard déjà fuyant puis, finalement se délasse et commence à expliquer comment elle jouait avec des amis au centre aéré et comment elle avait trébuché sur une autre personne et qu’elle avait boîté mais personne l’avait crue qu’elle s’était fait mal et en passant de parler de son amitié avec une jeune fille qui s’appelait Sam et celle-ci avait essentiellement commencé par l’épicène de leurs prénoms. Elle reprend à peine sa respiration qu’elle est déjà repartie sur la peur, mais combien elle avait été courageuse et comment elle n’avait pas pleuré – pas tout de suite – et elle avait marché comme il faut et tout et elle n’avait pas posé – pas trop – son pied par terre pour tester et est-ce qu’il est cassé, elle aimerait bien un plâtre mais en même temps non. Ton regard est à présent vers la fenêtre, ton index en pouce que tu mastiques – il n’y a plus de peau à y arracher, les ongles sont rongés au maximum. Quand la voix de Max commence à être plus disparate, un peu plus stressée, le souffle lourd de l’enfant qui se retient de pleurer, tu la rejoins à la table et tu t’assieds sur le petit escabeau qui permet aux personnes de petite taille de monter sur la table d’auscultation.
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Mar 19 Juil - 21:03

L'homme accompagnant la petite fille semblait particulièrement inquiet, pour ne pas dire distrait. Il resta silencieux, probablement pour ne pas transmettre son angoisse à l'enfant. Après une légère hésitation, la machine enfantine se mit en marche et impossible de l'arrêter. Ce fût un long récit détaillé de la veille, impeccablement décrit étape par étape. Elle avait gambadé, trébuché, boité. Une petite fille fort courageuse ayant ravalé son mal face à la négligence des animateurs du centre aéré. Netanel fronça les sourcils à ce passage. Tandis qu'elle parlait, il l'ausculta tranquillement. « A-t-elle eu de la fièvre pendant la nuit ? Des vertiges ou des vomissements ? » chercha à s'informer le médecin, auprès de l'homme qui l'accompagnait. Consciencieux, il vérifia tout cela par lui-même. Il prit sa tension, écouta rapidement son cœur et surtout contrôla sa température. Tout semblait normal.

Puis vînt le moment fatidique de la manipulation de la cheville. Netanel s'empara délicatement du pied de l'enfant, que ses mains immenses pouvaient envelopper entièrement. L'inflammation était bien visible, mais deux trois mouvements lui confirmèrent que seuls les tendons avaient été touchés, pas les os. « Tu n'auras pas besoin de plâtre demoiselle, c'est simplement une entorse. Ça fait mal, quand tu tends comme cela ? » demanda Netanel en faisant faire une pointe au pied de l'enfant. La réponse ne se fit guère attendre, puisque les petits yeux se remplirent instantanément de larmes. Pourtant, il n'y était pas allé fort. L'homme qui l'accompagnait accouru auprès d'elle, pour s'asseoir à ses côtés. « Je vais faire dégonfler sa cheville et après ça devrait aller beaucoup mieux » expliqua-t-il, d'un ton qui se voulait rassurant. Netanel s'assit alors sur le rebord du lit d'auscultation, dans la position qui lui paraissait la plus confortable, puis il remonta ses manches jusqu'aux coudes, dévoilant le bracelet en pierre d'eilat qui lui servait d'amplificateur. Toujours avec précaution, il enveloppa de ses mains la cheville de la petite Max, avant de fermer les yeux pour puiser dans son potentia. Le processus de guérison s'étira sur de longues secondes guidées par la respiration sonore de Netanel. Lentement, le rythme cardiaque du médecin s’accéléra. Les paumes de ses mains devinrent moites. Il semblait absorber la chaleur provoquée par l’inflammation. Ce fourmillement irradiant ses doigts, l'enfant devait également le ressentir à travers son membre. C'était le faisceau du ligament qui se rétablissait sous l'effet du potentia de Netanel. Ce dernier finit par rouvrir doucement les yeux, essuyant une perle de sueur gouttant sur son front. Son regard se posa sur la cheville de l'enfant. Elle avait totalement dégonflée. « Ça va mieux ? » demanda-t-il à Max, en souriant.
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Sam 23 Juil - 9:31

A-t-elle eu quoi, maintenant ? Ton regard déjà perdu se fit un poil plus troublé. Tu ne t’étais pas réellement inquiété de l’état de santé de Maxime outre sa cheville et elle n’avait pas montré d’autres signes de mal-être. Par ton métier, tu savais pourtant que ça pouvait aller vite, qu’on ne soupçonne pas toujours l’état de quelqu’un et tu as entendu suffisamment de rapports divers et variés pour à présent être un poil inquiet. Après un long moment où tu ne dis rien, le regard ailleurs, tu finis par lâcher un faible : « Je ne sais pas. » Qui te fait recevoir un regard interloqué de Max, qui n’a pas trop suivi la discussion entre adultes tout qu’elle était à chercher à se montrer sous son meilleur jour au médecin.

Ton regard est moins sur Max que sur le toubib, la tête peinant à se maintenir droite – tu ne perçois pas grand-chose que tu puisses assimiler mais la façon dont l’homme se comporte renvoie un calme et une sérénité qui permet à la gamine de ne pas s’inquiéter outre mesure. Elle fait la forte mais elle n’en mène pas large et elle finit par t’attraper la main lorsqu’il cache son peton entre ses paumes ; un médecin doué d’un potentia de soin, tu te demandes sans t’y attarder si c’est son pouvoir qui l’a destiné à ce corps de métier ou c’est un choix et un heureux hasard. Max couine, elle veut retirer son pied, la sensation lui est étrangère, la situation la pousse à avoir peur, tu ne relâches pas sa mimine, elle se met à pleurer mais essaie de rester droite et opine vaillamment lorsque Joffe relâche la cheville qui a retrouvé sa taille habituelle. Elle, elle ne veut pas ouvrir les yeux, prête à se sacrifier, elle finit par hocher la tête et éclate à nouveau en sanglots, tu la tires contre toi et lui pose une main sur le dos, son visage déjà perdu dans ton sweat qu’elle mouille en essayant de restreindre les petits mouvements qui trahissent les gros chagrins des enfants. « C’est guéri ? » Tu ne cherches pas le regard du médecin, tu es toujours ailleurs – tu essaies d’éloigner les pensées terrifiées de Max un instant de ton esprit alors que tu passes une main rassurante dans son dos. « C’est woah, hein Max ? » Elle se fige, renifle fort et opine, elle ne veut pas encore se retourner, pas croiser les yeux de l’autre, peut-être par fierté, peut-être également parce qu’il lui faut un moment pour retrouver toutes ses émotions. Elles sont encore fortes et intenses à son âge – elles deviendront plus soutenables dans les prochaines années, avant de refaire un pique avec la puberté. Elle finit par lâcher d’une petite voix mouillée. « C’est woah. »
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Sam 6 Aoû - 18:17

Le médecin relâcha la pression autour de la cheville de l'enfant, celle-ci ayant à présent retrouvée des proportions correctes. L'enfant s'était réfugiée dans les bras de l'homme qui l'accompagnait. De petites larmes coulaient le long de ses joues. Le processus de guérison l'avait considérablement chamboulé. Netanel ne se formalisait pas de sa réaction expansive, il avait vu des plus grands qu'elle pousser de lourdes plaintes. « C'est terminé, plus de misère » annonça-t-il, en tentant de relativiser. Malgré l'habitude, il ne put s'empêcher d'avoir un pincement au cœur face au chagrin infantile. Il opinant plusieurs fois du chef pour confirmer à l'homme que sa cheville était parfaitement guérie. « Evidemment, il vaut mieux éviter de reprendre les acrobaties dès la sortie du cabinet, mais elle peut retourner au centre aéré cette après-midi, sans problème » assura Netanel avec un sourire bienveillant. Son regard se posa à nouveau sur Maxime qui émergeait petit à petit du sweat-shirt de son accompagnant. Il profita d'avoir son attention pour chatouiller délicatement sa plante de pied autrefois meurtri. L'enfant se mit à gigoter allégrement. « Les réflexes ont l'air bons. Plus de douleur manifeste » observa le médecin faussement sérieux. Ses doigts continuèrent de titiller la peau de l'enfant jusqu'à lui arracher une rire franc, qui ne tarda pas à se faire entendre. Voilà qui était mieux, songea Netanel en souriant pleinement satisfait. Il se leva alors du lit d'examen pour rejoindre son bureau et rechausser ses lunettes sur le bout de son nez. « Vous avez la carte vitale ? » demanda-t-il en ouvrant le dossier électronique de Maxime sur son ordinateur.
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Dim 7 Aoû - 10:03

Maxime est comme beaucoup d'enfants, elle va d'un extrême à l'autre, du gros chagrin à l'allégresse la plus totale, pour peu que la stimulation soit adéquate. Ces changements d'humeur se font plus rares avec une meilleure maîtrise de ses sentiments, même si tu ressens d'autres émotions commencer à prendre le dessus – elle devient plus curieuse, d'une manière plus intéressée, là où, avant, une réponse évasive lui suffisait. Elle analyse plus certaines situations, est plus propice à la comparaison et  aux questionnements qui ne sont parfois pas verbalisés. Elle n'est pas malheureuse mais elle pourrait l'être. Elle se dégage enfin de tes bras pour reposer son pied sur le sol avec un air curieux, un peu anxieux, et affiche un air satisfait lorsque la douleur ne reparaît pas. Elle lâche un compliment bruyant à l'intention du docteur et trottine s'asseoir sur une des chaises face au bureau. Toi, t'es debout et un peu con quand il te demande la carte vitale de la gamine. Tu tapotes un peu tes poches pour faire bonne mesure, alors que tu es déjà sûr de l'avoir oubliée quelque part, mais où ? « Ah bah euh je... » Tu bafouilles, regarde ailleurs, fuis le regard du toubib comme tu l'aurais fait d'un professeur te prenant en faute. « Non. » Finis-tu tout de même par lâcher – couiner – avec l'envie de te dire que s'il n'entend pas, ça réglera tout le problème. « C'est quoi? » Tu fronces le nez, elle a cessé de loucher sur les affaires posées sur le bureau du docteur pour vous observer tour à tour. « La carte vitale. » Elle opine, prend une mine concentrée. « Elle est euh... » Elle opine toujours, lançant parfois des regards au médecin pour lui dire regardez, on est concentrés! et tu recommences à fouiller dans tes poches. « Non. » Elle cligne des yeux, tapote aussi dans ses poches. « Non? » Ah non, la réponse n'était pas pour elle. « Non. » Elle répète cette fois pour le docteur. « Elle est vitale la carte vitale? » Elle finit tout de même par demander dans un gloussement ravi.
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Dim 14 Aoû - 16:25

La petite Maxime finit par se calmer. Elle essuya les larmes ayant roulé le long de ses joues. Elle renifla un bon coup pour avaler le trop plein d'émotions provoqué par l'effet du potentia de Netanel. De retour à son bureau, le médecin fût ravi de la voir remettre le pied à terre. Précautionneuse, elle testa ses appuis, avant de trottiner guillerettement. Des misères bien vites oubliées ! Comme les papiers de l'enfant, que l'adulte qui l'accompagnait semblait avoir objecté de prendre avec lui. Il n'était pas le premier et ne serait certainement pas le dernier. De même augure, il arrivait à Netanel de sortir faire les courses, avant d'apparaître benêt devant la caissière, en se rendant compte de l'oubli de porte-feuille dans la poche intérieure de son autre manteau. Avant que son épouse ne disparaisse, il n'était pas rare qu'elle lui passe un coup de fil en plein trajet, afin de lui demander de manière innocente : de quelle manière il comptait payer le boucher sans carte-bleue, ni monnaie. « Vous l'avez oublié ou vous n'en avez pas ? » demanda Netanel, sans aucun jugement dans la voix. Strasbourg était une cité accueillant de nombreux réfugiés et où – malgré une éminente prospérité –  de nombreuses familles vivaient dans une extrême précarité. Toutes et tous n'avaient pas accès à la Sécurité Sociale. « Vous avez de quoi payer la consultation ? » interrogea-t-il, alors que ses yeux bruns scrutait le visage de l'homme par-dessus ses lunettes de vue. Ne s'attendant guère à obtenir davantage de réaction de sa part, qu'il n'en avait eu depuis le début de la consultation, il préféra changer de stratégie. « Bon, je vous fais une feuille de soin pour le remboursement. A l'ancienne » annonça-t-il, en ouvrant l'un des tiroirs de son bureau, pour en sortir un bloc de feuilles de soin. Avec la dématérialisation des données médicales, il ne l'utilisait que rarement, ce qui expliquait l'aspect vieilli de l'étui de cuir l'enveloppant. « Vu que j'ai pu soigner sa cheville, je n'ai rien à lui prescrire. Ça devrait aller pour toi, Maxime » assura Netanel en se tournant vers la concernée. Il appuya son discours d'un sourire bienveillant. « Tenez. Pour la carte vitale, vous pouvez repasser dans la journée et voir cela avec le secrétariat » qu'il reprit en tendant la feuille de soin à l'adulte. Elle était préalablement remplie, signée et tamponnée. Il se leva ensuite pour aller leur ouvrir la porte et les raccompagner jusqu'à la sortie. Il serra solennellement la main de l'homme pour sceller la fin de la consultation. « J'ai été ravie de faire ta connaissance Maxime. Tu as été très courageuse » observa Netanel, en tendant également sa main à la demoiselle pour qu'elle l'a serre à son tour.
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