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ragots en sucre. ; alice & eden
Alice Dietrich
Alice Dietrich

la Promesse

Arrivée : 14/07/2022
Messages : 66
faceclaim : Benedetta Gargari
crédits : feuille de carotte (av) Palmer (crackship)
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Ven 15 Juil - 23:10

Alice a l’habitude d’être la première arrivée à la boulangerie, a l’habitude de passer par la porte de derrière, d’allumer tout l’arrière et l’atelier, de vérifier que tout a été rangé et nettoyer la veille en boutique pour savoir si elle doit passer un coup ou non plus tard. Alice a l’habitude d’être d’abord seule, de lancer les premières fournées de pain, d’attaquer les baguettes quand un collègue la rejoint. Alice a l’habitude de surveiller l’heure quand il faudrait bientôt ouvrir, parce qu’Aron n’est pas arrivé, Alice ne devrait pas avoir l’habitude mais c’est bien elle qui se charge de prendre la caisse pour les plus matinaux. Ca va les jours où, d’un pur hasard plutôt chouette, Nat et Emile font parti de ces lève-tôt (forcés). Ca lui pèse un peu plus lorsque non, qu’elle n’est pas censé faire tant de caisse, qu’elle perd du temps sur les gâteaux qu’elle doit préparer.

Le sourire est fatigué lorsque son patron arrive, elle se passe franchement de commentaires et retourne à l’atelier comme il se doit.

Elle en est à faire une légère pause, qu’une base de biscuit cuise, quand son ex-patron (mais c’est quand qu’il lâche les Jägers et revient c’lui-là) débarque. Et le sourire est un peu plus concret.
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Ven 15 Juil - 23:54

juilletragots en sucreC'est un peu douloureux de revenir. Pas physiquement, c'est juste les souvenirs. C'était plus simple avant, c'était peut-être mieux avant. Mais ça, personne ne peut le comprendre, pas toutes ces personnes qui rêveraient d'être à sa place (s'ils savaient), tous ces gens qui l'ont soutenu (éternel insatisfait). C'est faux, il était comblé, ça lui allait de se lever aux aurores, embaumé par l'odeur du pain chaud, les mains enfarinées. Il parvient à retrouver ces sensations quand il s'enferme dans les cuisines, bien que ça ne soit que temporaire. Il est tout de même satisfait de sa vie, bien sur que ça pourrait être mieux. Et ça peut toujours être pire.
Même si ils sont à un bon niveau de pire. (Ne pas penser à Antonio)

Aron n'a pas répondu à son message, ni ses appels, alors il fait un crochet par la boulangerie. Il n'est pas surpris d'y croiser - encore - Alice. Fidèle au poste. Il est où Aron ? Il soupire, parce qu'il ne le demande pas sur le ton de quelqu'un heureux d'être là. Heureusement qu'il y a Alice. Il lui sourit, fait passer par le regard une petite étincelle de malice. Il t'a encore planté ce matin, c'est ça ? Léguer la boulangerie à son frère, Eden ne l'a pas fait de bon coeur. Il n'avait pas d'autres solutions, la vendre lui aurait brisé le coeur et il avait besoin de quelqu'un sur place pour gérer l'équipe et s'assurer qu'elle ne perdre pas sa réputation. Aron n'a pas contribué à son essor et il y a bien eu une baisse de fréquentation, inévitable. Les gens viennent pour les pâtisseries et parce qu'il y a Ackermann dans le nom.

Il prend une chaise et s'assoit à une table dans l'espace déjeuner. Il espère qu'il n'y aura pas trop de monde. Il porte une casquette - comme un super héros - et il joue avec le cuir de ses gants. Certains diront que c'est de l'anxiété. Je suis désolé. J'aimerai que les choses se passent autrement. Il aurait même pu lui donner le poste, aveuglément.
Il ne savait pas à l'époque.  
Alice Dietrich
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Sam 16 Juil - 18:01

Alice n’a pas envie de rire, mais c’est nerveux. Le sourire qu’elle garde est plus poli qu’autre chose — elle a conscience que les patrons sont frères, qu’il y a un passif avec Aron et qu’elle ne peut pas autant se plaindre de lui qu’elle le voudrait. C’est supportable, honnêtement, mais… « Bonne question, on gagne combien si on y répond ? » C’est tout de même fatiguant, de ne pas savoir. Personne n’a aucune idée de ce que fabrique réellement celui qui est censé tenir la baraque. Il peut être assidu tout une semaine, un mois, et enchaîner les absences et imprévus ensuite. Parfois, Alice a envie de demander à Nat de l’épier, juste au cas, mais son frère n’accepterait pas et ce ne sont pas assez ses affaires pour qu’elle s’en fiche réellement. « Il est passé. » Elle répond avec un haussement d’épaules. Aron est arrivé en retard, pour repartir deux heures plus tard et c’est son collègue qui tient le service. Ils ont appris à faire avec, ou plutôt sans, les employés d’Ackermann — ils font au mieux, la boulangerie tient, Alice ne pense pas que les clients soient capables de percevoir quoi que ce soit.

Un bref regard au four et au minuteur, avant qu’Alice ne décide de suivre Eden sur l’une des minuscules tables. Elle préfère s’amuser qu’être peinée qu’il ne se permette que ça aujourd’hui, casquette ou bonnet enfoncé sur les boucles, qu’ils ne passent plus de temps ensemble à l’atelier à essayer de parfaire la technique de l’apprentie ou tenter une nouvelle recette complètement cabossée. Elle hoche la tête, pour essayer de le rassurer. « Ce n’est pas grave, Eden… » Ultimement, ils s’en sortiront. Un peu fatigués, sans doute un peu agacés aussi, mais… Aron trouvera la bonne parole, plus tard, et elle ne se plaint pas des quelques euros supplémentaires qu’elle arrive à obtenir sur sa paie. « Tu vas bien ? » Si elle aimerait ne rien suivre des affaires des Jägers, et du Rohan Institut, le destin lui a mis deux trublions sur sa route — elle sait que les choses ne sont pas faciles, depuis l’accident au parc, elle sait qu’elle n’aura jamais le droit qu’au strict minimum. Elle estime que vouloir savoir comment vont ses ami·e·s fait partie du strict minimum. « Tu veux quelque chose ? » Elle n’oublie pas le service (irréprochable !) que la boulangerie veut offrir.
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Dim 17 Juil - 22:56

cw : brève mention de ptsd et d'anxiété Son frère est un mirage qui s'évapore chaque fois qu'Eden tente de s'approcher. Il est responsable de cette cassure qui n'est pas franche, leur relation est fracturée et avant qu'elle ne puisse être sévèrement abimée, il voudrait essayer de clore cette distance. Il repense à ces deux années où il avait complètement disparu des radars. Il sait qu'il a eu tord de ne pas venir le chercher, mais le mal est fait. « Tu lui diras que je suis venu. » Et il sait déjà comme tout ça va se passer. Aron prendra son téléphone, il lui dire qu'il est désolé, qu'il fera en sorte d'être présent la prochaine fois - pour lui ou la boulangerie ? - et ne tiendra pas ses promesses. Ce que Eden ne pourra jamais lui reprocher.
Ils n'ont jamais tenu les promesses chez les Ackermann. C'est pour ça qu'on ne jure jamais sur quelqu'un.

Eden soupire. Les choses pourraient être pire. Combien de fois va t-il se le répéter ? Ce n'est pas assez pour que ça lui rentre dans le crâne. Parfois il se dit que si Liesel avait été grièvement blessée -  ou tuée, elle aussi - il n'aurait jamais eu la force de revenir voir Alice. Là ça aurait été terrible.  Maintenant, il prend conscience des risques qui autrefois lui paraissait si lointain. Théoriques. Maintenant, il a vu la mort et elle continue de le hanter, comme si elle avait laissé leur empreinte sur eux. « C'est compliqué.  Réponse la plus adéquate et la plus sincère qu'il soit capable de formuler sans automatiquement ressentir la culpabilité de devenir lui balancer ses traumatismes sur le comptoirs. (Tu te souviens de l'époque où on se moquait de la petite vieille et ses histoires de saucisse volée par les chats du quartier ?) « J'y pense tout le temps. » L'explosion.

Il ferme les yeux et il entend le bruit, puis après... Il y a l'après. « Je vais te prendre un café avec une pâtisserie. Tiens tu n'as qu'à me mettre une dont tu particulièrement fière. » Il fera comme si il était encore son patron, comme si il avait encore des conseils à lui donner. Comme si il connaissait quelque chose.
 
Alice Dietrich
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Ven 22 Juil - 22:52

La boulangère n’aime pas tant le rôle de rapporteuse qu’on lui impose, même si elle commence à en avoir l’habitude, même si elle a déjà tenté de l’utiliser pour faire réagir ou avoir un quelconque moyen de pression sur son (vrai) patron. Au fond ça n’a jamais véritablement fonctionné, et ça ne l’a jamais aidé. Elle prend les choses comme elles viennent, essaie de ne pas trop se poser de questions. Dans la vraie vie, les questions n’ont que rarement des réponses pleines et entières.

Dans ses rêves…

Alice a une esquisse de sourire compatissant à la réponse du Jäger, laisse ses pensées courir à Liesel en toute liberté. Elle ne comprend pas, elle ne le peut pas, bien qu’elle ait pu aborder quelques événements difficiles dans d'autres vies. Elle tend seulement le bras, presse doucement une épaule, chasse la tristesse qui veut l’envahir alors qu’elle n’est pas la sienne en secouant la tête. « Il faut le temps… » Elle répète, un peu vide, beaucoup dans le vide, parce qu’elle l’a entendu, parce qu’il faut dire quelque chose. « Si jamais tu veux en parler… » Elle reste vague mais cette proposition est plus sincère — la même qu’elle fait à sa petite-amie, lorsqu’elle la sent tendue ou ailleurs.

L’humeur n’est qu’un peu plus légère mais elle espère qu’un peu de nourriture arrivera à lui remonter le moral ; elle hoche la tête, réfléchit aux pâtisseries du jour, sourit un peu plus sincèrement avant de s’esquiver, lancer la machine, hésiter entre ses éclairs Speculoos et ses tartes au citron, pas savoir se décider et récupérer les deux, (servir un client entre temps) avant de retrouver Eden à sa table avec un petit plateau. Elle se permet de prendre place en face, une douce chaleur dans la poitrine — des quelques minutes de normalité de volées. « J’ai pas su choisir… Prends ce qui te fait le plus plaisir. »
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Mar 23 Aoû - 22:01

Ces instants volés n'ont pas de prix. Il a l'impression de faire quelque chose de mal, pourtant, en fuyant ses responsabilités, en venant se cacher dans le quartier où il a grandi et vieilli - avant que sa vie ne prenne un tournant drastique. Avant de se connaître une renaissance. Tout se mêle ici, le parfum d'antan et les rides qui creusent les visages de vieille connaissances. Des clients qui en passant lui font un signe de la main (pour eux il est une fierté). Ces mêmes sillions qui parfois ternissent son regard et celui d'Alice et qui lui rappellent que le temps défile à toute vitesse. Demain c'est déjà hier et il se demande à quel moment il a perdu la notion de sa propre existence et surtout pourquoi il n'est pas assez fort pour ralentir la cadence.

Au diable donc les Jâgers, pour cette journée, il veut la passer en compagnie des gens qu'il aime et ce n'est pas ce gouvernement et ses secrets qui font battre son coeur.

Il soupire de contentement face aux pâtisseries, ses papilles ravies de goûter à quelque chose d'authentique. Toujours aussi bon de la main d'Alice. Il se demande parfois ce qu'ils seraient, s'il était encore son patron et qu'il lui donnait des leçons. Il se surprend à rêver comme le fait peut-être la jeune femme, mais les rêves n'ont pas cette saveur addictive. Les rêves d'Eden sont juste des rêves, des pensées fugaces, il ne s'y perd jamais assez longtemps. « C'est vraiment délicieux, c'est une très bonne idée le speculoos Même si elle lui a offert une oreille pour écouter ses plaintes, il refuse de venir ici décharger sa négativité. Tu sais il y a de grands risques que je prenne tout... » De plus, elle ne pourrait pas comprendre ce qu'il traverse, il ne pourrait jamais lui reprocher. Leurs mondes sont bien différents, il ne lui demande pas de se mettre à sa place, de porter son fardeau, d'être gardienne de ses secrets. C'est lui l'ainé dans l'histoire. Il y a déjà bien à faire des conflits entre lui et son frère.

« Tu sais, je me dis que ça me ferait du bien de partir un peu. Prendre quelques jours pour moi. Tu me conseillerais l'Italie ?  Il ricane la bouche pleine de pâtisserie. S'il pouvait partir demain, Eden ne sait pas où il irait. Il voudrait voir l'océan, peut-être, ou alors gravir une montagne et passer une semaine dans un chalet en altitude. Tu pourrais venir avec Liesel. Dis moi Alice j'espère que tu te reposes quand même. »
 
Alice Dietrich
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Dim 28 Aoû - 14:41

Il y a certaines choses qui ne changeront pas, sans doute ; la fierté qui vient réchauffer quelque chose dans sa poitrine lorsqu’Eden complimente l’idée et ses pâtisseries doit en faire partie. Un vieux réflexe, alors qu’il a été son mentor quelque temps, alors qu’il est une figure qui lui a permis de trouver une réponse à l’une des grandes questions de la vie et lui a autorisé un début d’émancipation. Si Alice s’accroche beaucoup à ce qui n’est pas, ses rêves, elle a aussi une affection particulière et peut-être malsaine à ce qui a été formateur pour elle. Eden et la boulangerie. L’Italie. Elle oublie, parfois, que son présent est tout aussi important et — bien que ça l’étonne(ra) toujours — plutôt… Correct. Le sourire qui la prend est terriblement heureux et sincère, elle ne se gène pas pour pousser du bout des doigts les deux assiettes vers le Jäger. « C’est tout pour toi ! » Elle n’a pas vraiment l’habitude de manger pour manger, lorsqu’elle travaille : elle goûte, souvent, et ça suffit largement pour la caler pour son service, elle mange généralement après la brève sieste faite en rentrant chez elle.

Un autre vieux réflexe qui surgit, lorsqu’on mentionne la terre de son cœur. « Oui ! » Bien sûr que oui, elle conseillera toujours l’Italie. « Va à Naples ! » Il y a de tout à Naples : de la vieille ville, beaucoup d’urbain, mais pas que, la plage, le volcan à côté… Elle taira les trucs moins chouettes, aussi. Une certain chaleur lui monte jusqu’aux joues lorsqu’il évoque l’idée qu’elle vienne, avec Liesel. « Oh, je… » Bien sûr qu’elle y a déjà pensé, à faire découvrir l’Italie à sa petite-amie, mais pourtant le projet n’a jamais été véritablement abordé et proposé — sa douce a des responsabilités, un emploi du temps qu’elle ne veut pas compliquer, et puis peut-être d’autres destinations de voyage, et si elle ne voulait pas venir en vacances avec elle ? Les cils se chassent alors qu’elle bat les paupières, chassant le (léger) stress survenu. « Je ne suis pas certaine que partir en vacances avec un couple soit très reposant pour toi, Eden. » Il y a de ça, aussi ; qu’elles seraient loin de tout ce qui leur est connu et qu’elles seraient insupportables, à se coller tout le temps sans doute, à profiter de n’être personne là-bas pour… Être elles, simplement. Alice sourit, finalement attendrie de l’image. « Je dors bien, ne t’inquiète pas. » Elle arrive à être raisonnable, à ne pas se réfugier dans ses rêves, ne pas s’en priver non plus… D’accord, peut-être que son présent est vraiment bien, pour qu’elle ne cherche pas tant à s’en échapper et ait une vie… Equilibrée ?
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Jeu 22 Sep - 20:33

Eden n'y a pas vraiment réfléchi, il lui a balancé ça parce qu'il sait que ça lui ferait plaisir et qu'il a cette impulsivité au fond de lui, ce désir parfois de tout envoyer valser et  disparaître. Et si demain il montait dans le premier avion et allait là où il veut vraiment aller, si demain il se permettait de tout chambouler, de dire merde à l'institut et son emploi du temps, s'il arrêtait d'être le bon élève, le plus vieux, le plus sage, s'il arrêtait d'être poli et qu'il allait claquer quelques portes. Il n'en fera rien, c'est amusant d'y penser, ça passe le temps et ça détend de rêvasser, de s'imaginer dans des situations qui au final ne colleraient pas vraiment à sa personnalité. Le genre de scénarios qu'on fait défiler tout seul dans sa douche après une journée éprouvante, toutes ces répliques jamais prononcées, ces occasions manquées. Il y a cette envie de bousculer son quotidien et en même temps, Eden est conscient que ce n'est pas passé quarante ans qu'il va refaire sa vie avec la fougue d'un jeune révolutionnaire.
Mais ça, il le souhaite aux autres et surtout à Alice et Liesel, pour qu'elles n'aient pas (trop) à se sacrifier comme lui s'est longtemps abandonné.

Il n'a même pas pensé un instant qu'il se trouverait à tenir la chandelle. Ce qui ne le dérange pas sur le papier. Il n'a jamais été en couple et ne saurait envier quelque chose qui lui il est tout simplement inconnu. Elles sont heureuse et c'est le principal. Alice a une grande famille, elle n'a pas besoin d'un autre grand frère et Liesel non plus, n'a peut-être pas envie d'une énième figure paternelle. Ce n'est pas pour leur faire la morale, mais il se sent parfois responsable. « Oh, tu sais, les couples ne me dérangent pas. Je fais avec au quotidien » Il sait se faire discret et leur laisser de l'espace. « Mais peut-être que tu voudrais plus d'intimité et ça, je ne peux pas te le reprocher. »

Lui, aimerait bien pouvoir compter sur ses rêves quand ça ne va pas. Il aimerait pouvoir rêver. Sans s'inquiéter de tout voir s'obscurcir et revivre la catastrophe. « Je ne crois pas t'avoir déjà vu aussi... heureuse. »  Et amoureuse, peut-être, si ça se voit tant que ça. Est-ce que ça se voit vraiment ? Il n'y fait pas forcément attention, il n'a jamais fait attention à ça. Et il n'est jamais tombé amoureux non plus.
C'est vraiment un beau sourire, ça à l'air chouette d'être amoureux.
 
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